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Projet HONORER : dix nouvelles sentences

Communiqué

Luc Lemay et Claude de Guise, tous deux reconnus coupables de fraude de plus de 5000 $, de complot et de corruption dans les affaires municipales, ont reçu une sentence d’emprisonnement. De Guise a pour sa part été condamné à 30 mois de pénitencier Lemay à 21 mois sans possibilité de libération avant le terme de sa condamnation.

D’autres accusés dans le même projet d’enquête ont aussi reçu leur sentence. Il s’agit de :

  • Mario Desrochers : 12 mois d’emprisonnement dans la collectivité 
  • Louis Farley : 24 mois moins un jour d’emprisonnement dans la collectivité 
  • Guy Jobin : 24 mois moins un jour d’emprisonnement dans la collectivité 
  • Carl Ladouceur : 18 mois d’emprisonnement dans la collectivité 
  • Patrick Lavallée : 24 mois moins un jour d’emprisonnement dans la collectivité
  • Léonardo Moscato : 12 mois d’emprisonnement dans la collectivité
  • François Perrault : 24 mois moins un jour d’emprisonnement dans la collectivité 
  • Yves Théberge : 24 mois moins un jour d’emprisonnement dans la collectivité 

Rappelons que le projet HONORER visait le démantèlement d'un réseau organisé et structuré qui opérait un système de corruption et de collusion dans l'octroi de contrats publics à Laval. Dans ce vaste projet d'enquête, 37 personnes avaient été accusées dont Gilles Vaillancourt qui purge une peine de six ans d'emprisonnement pour fraude, complot et abus de confiance.

Projet HONORER : 13 accusés plaident coupables

Communiqué

Coaccusés dans le cadre du projet d’enquête HONORER, Guy Desjardins, Mario Desrochers, Louis Farley, Laval Gagnon, Guy Jobin, Carl Ladouceur, Patrick Lavallée, Giuseppe Molluso, Léonardo Moscato, François Perrault, Yves Théberge, Luc Lemay et Mike Mergl ont tous plaidé coupables à des accusations de complot, de fraude dépassant 5000 $ et de corruption dans les affaires municipales. 

Les accusés connaîtront leur sentence au courant du mois de septembre.

Rappelons que le projet HONORER visait le démantèlement d'un réseau organisé et structuré qui opérait un système de corruption et de collusion dans l'octroi de contrats publics à Laval. Dans ce vaste projet d'enquête, 37 personnes avaient été accusées dont Gilles Vaillancourt qui purge une peine de six ans d'emprisonnement pour fraude, complot et abus de confiance.

Projet HONORER : Marc Lefrançois, Claude de Guise et Jocelyn Dufresne plaident coupables

Communiqué

Accusés dans le cadre du projet d’enquête HONORER, Marc Lefrançois, Claude de Guise et Jocelyn Dufresne reconnaissent leur culpabilité aux chefs d'accusation de complot, de fraude dépassant 5000 $ et de corruption dans les affaires municipales. Les accusés connaîtront leur sentence sous peu.

Rappelons que le projet HONORER visait le démantèlement d'un réseau organisé et structuré qui opérait un système de corruption et de collusion dans l'octroi de contrats publics à Laval. Dans ce vaste projet d'enquête, 37 personnes avaient été accusées dont Gilles Vaillancourt qui purge une peine de six ans d'emprisonnement pour fraude, complot et abus de confiance.

Projet MADRIER : Antonino Catania et l'entreprise Catcan plaident coupables à des infractions criminelles

Communiqué

Le 6 juin dernier, Antonino Catania et l’entreprise Catcan ont plaidé coupables à des accusations de fraude, fraudes envers le gouvernement et abus de confiance. 

L’accusé et l’entreprise fautive connaîtront leurs sentences le 9 juin prochain.

Prévention de la corruption : un pilier méconnu de la mission de l'UPAC

Nouvelle

Le 5 juin, un reportage et une entrevue sur le Service de la prévention et de la détection ont été diffusés sur différentes plateformes de Radio-Canada. Découvrez-les en cliquant sur les liens suivants :

 

Apprenez-en d'avantage sur le mandat des conseillers en prévention et la démarche de gestion du risque offerte tant aux ministères, organismes publics qu'aux municipalités.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

Projet CAVALIER : deux chefs d’accusation déposés contre Mélanie Miranda

Communiqué

Projet MERCATO : Trois accusés et leurs entreprises plaident coupable à des infractions fiscales

Communiqué

Jeffrey Fields, ancien chargé de projet à l’Hôpital général juif de Montréal, Kotiel Berdugo, ancien directeur des services techniques à l’Hôpital général juif de Montréal, et Gilbert Leizerovici, contractant,  ont plaidé coupable à plusieurs infractions aux lois fiscales fédérale et provinciale, notamment pour avoir comploté en vue de faire des déclarations fausses ou trompeuses alors que des travaux étaient facturés à l’Hôpital général juif de Montréal, de 2008 à 2013, par les entreprises R.A. Rénov-Action inc., Solutions Éco-Services et Installetout inc., administrées et dirigées par Gilbert Leizerovici. 

Les accusés sont passibles d’amendes et de peines d’emprisonnement. Ils connaîtront leurs sentences prochainement.

L’UPAC commande une enquête interne

Communiqué

Montréal, le 25 avril 2017 – À la suite des révélations faites par TVA Nouvelles concernant le projet d’enquête Mâchurer de l’UPAC, le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, déclenche une enquête interne afin d’identifier l’origine de la transmission de documents confidentiels qui a permis la diffusion publique de certains éléments d’une enquête criminelle active.

 « Il n’est pas dans l’intérêt commun que des documents et des contenus d’enquête soient étalés sur la place publique. Cette divulgation pourrait être lourde de conséquences alors que les enquêteurs de l’UPAC sont maintenant soumis à des pressions inutiles qui pourraient entraver leur travail », a souligné le commissaire Lafrenière. « L’enquête Mâchurer se poursuit et elle sera soumise au Directeur des poursuites criminelles et pénales lorsque tous les éléments de preuves seront amassés et analysés, et que l’enquête sera entièrement complétée », a conclu le commissaire.

L’UPAC n’émettra pas de commentaires supplémentaires.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

Projet HONORER : un nouveau plaidoyer de culpabilité

Communiqué

Normand Bédard a été commandé à 12 mois de détention à résidence après avoir plaidé coupable à des accusations de fraude et d'actes de corruption dans les affaires municipales.

Rappelons que le projet Honorer visait le démantèlement d'un réseau organisé et structuré qui opérait un système de corruption et de collusion dans l'octroi de contrats publics à Laval. Dans ce vaste projet d'enquête, 37 personnes avaient été accusées dont Gilles Vaillancourt qui purge une peine de six ans d'emprisonnement pour fraude, complot et abus de confiance.

Projet GRATTOIR : quatre accusés et une entreprise reconnus coupables

Communiqué

Patrick Alain, Jules César Badra, Pasquale Fedele et Jacques Lavoie accusés dans le projet GRATTOIR ont été reconnus coupables d’un total de 50 infractions criminelles, dont fraudes, fabrication et utilisation de faux, ainsi que de complot.

Pour sa part, l’entreprise CIV-BEC Inc. a été reconnue coupable de 17 infractions criminelles.

Les accusés connaîtront leurs sentences sous peu.

Projet MÉANDRE : Michael Applebaum coupable

Communiqué

Michael Applebaum a été reconnu coupable par l'honorable juge Louise Provost de huit chefs d'accusation dont complot, fraude envers le gouvernement, corruption dans les affaires municipales et abus de confiance.

Les faits reprochés à Michael Applebaum se sont déroulés lorsqu'il était maire de l'arrondissement Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce à Montréal.

Rappelons que dans le même dossier, Jean-Yves Bisson et Saul Zadjel ont plaidé coupable en 2015 à des accusations de corruption.

L'accusé connaîtra sa sentence sous peu.

Projet GRAVIER : quatre accusés et une entreprise plaident coupables

Communiqué

Le 13 janvier dernier, Rosaire Fontaine, André De Maisonneuve, Luc Tremblay, Normand Trudel et l'entreprise BPR-Triax ont plaidé coupable à divers chefs d'accusations, dont complot, corruption dans les affaires municipales et abus de confiance.

Rosaire Fontaine a également plaidé coupable à une accusation de fraude dans le projet d'enquête FICHE.

Les accusés connaîtront sur leurs sentences au courant du mois de février 2017.

Quant aux autres coaccusés dans le projet d'enquête GRAVIER, leurs procès se tiendront en 2017.

Projet HÉCATOMBE : Michel Lavoie plaide coupable

Communiqué

Projet HÉCATOMBE : Michel Lavoie plaide coupable aux chefs d’accusation d’abus de confiance qui pesaient contre lui. Les représentations sur sentence devraient avoir lieu le 23 février prochain.

Activités de l'UPAC : Rapport de fin d'année 2016

Nouvelle

ACTIVITÉS DE L'UPAC : RAPPORT DE FIN D'ANNÉE 2016

Montréal, le 16 décembre 2016 - Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, a fait le bilan des activités de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) pour l'année civile 2016. « Ce bilan témoigne du savoir-faire et de l'expertise spécifique aux équipes de l'UPAC qui ont une grande volonté de protéger l'intégrité de l'État », a souligné le commissaire, qui associe également ses résultats à la stratégie de lutte contre la corruption systémique déployée par ses 11 équipes en prévention, en vérification et en enquête, depuis sa création en 2011.

 

DES ACTIONS DE PRÉVENTION, DE VÉRIFICATION ET D'ENQUÊTE

Prévenir

Le programme de prévention de l'UPAC a permis de toucher plus de 23 000 fonctionnaires et élus provinciaux et municipaux depuis qu'il a été déployé en force à travers la province au début 2012. Le premier programme de sensibilisation face aux enjeux de la corruption et au manquement à l'intégrité a connu un grand succès auprès de clientèles visées et il continuera d'exister. En effet, la lutte contre la corruption ne se limite pas aux mises en accusation. La lutte contre la corruption passe avant tout par la prévention en agissant sur deux volets : le renforcement des processus et des mesures de contrôle de nos institutions ainsi que la sensibilisation et l'éducation des personnes qui en font partie. « Ce n'est pas que l'individu fautif qu'il faut arrêter, c'est toute une culture de complaisance et de tolérance qu'il faut briser et, en ce sens, la prévention occupera toujours une place prépondérante dans notre stratégie à long terme de lutte contre la corruption », a souligné le commissaire.

 

L'offre de service de l'UPAC en matière de prévention a été bonifiée par le développement du programme de la gestion des risques en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle. Depuis juillet 2016, le programme de gestion des risques proposé par l'UPAC fait l'objet d'une directive du Secrétariat du Conseil du trésor qui oblige tous les ministères et organismes à se doter d'un plan pour identifier, analyser et évaluer les risques à toutes les étapes du processus de gestion contractuelle. L'UPAC a pour mandat de soutenir les ministères et organismes dans la mise en place de leur plan de gestion des risques.

 

Résultats en prévention 2016 :

  • 80 séances du programme de sensibilisation aux risques de corruption et de collusion ont été présentées à 2 000 participants qui sont majoritairement des employés des administrations provinciale et municipale du Québec.
  • Le programme de gestion des risques en matière de corruption et de collusion a inspiré la directive du Conseil du trésor (juillet 2016). Celle-ci oblige tous les organismes publics de l'administration gouvernementale, du réseau de la santé et des services sociaux et du réseau de l'éducation à adopter un plan de gestion des risques d'intégrité avant le 31 août 2018. (http://www.tresor.gouv.qc.ca/fileadmin/PDF/faire_affaire_avec_etat/cadre_normatif/gestion_risques.pdf)

 

Vérifier

Les vérifications de conformité, de travail au noir, de blanchiment d'argent, la vérification des processus en matière de gestion contractuelle et de gestion des projets publics, ainsi que les vérifications d'intégrité sont des mécanismes de surveillance déterminants en matière de lutte contre la corruption. « Les vérifications peuvent mener à des sanctions sévères. Lorsqu'une entreprise perd une licence de construction ou n'obtient pas l'autorisation de contracter avec l'État, elle ne pourra tout simplement pas obtenir de contrats publics », a précisé le commissaire Lafrenière. Les critères d'intégrité valent pour tous et les vérifications de l'UPAC permettent d'identifier des lacunes et de forcer des entreprises et ses dirigeants à régulariser des situations où l'intégrité est altérée.

 

En exigeant les entreprises à se conformer aux plus hauts critères d'intégrité en vertu de la loi sur les contrats des organismes publics, on change les règles du jeu. «  C'est un privilège d'obtenir des contrats avec le gouvernement et c'est pourquoi l'entreprise privée désireuse de contracter avec l'État doit démontrer qu'elle cultive elle-même les plus hauts standards d'intégrité », a ajouté le commissaire.

 

Résultats en vérification 2016 :

  • Le Service de vérification de l'intégrité des entreprises de l'UPAC a procédé à la vérification de 1 200 entreprises en 2016. Dans certains cas, des entreprises ont dû modifier leur fonctionnement de gestion pour se conformer aux exigences de la loi afin d'obtenir l'autorisation de contracter avec le gouvernement.
  • L'équipe de vérification sur la gestion contractuelle du Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire a procédé à 16 vérifications ponctuelles.
  • Les vérifications de l'Unité autonome de vérification de la Commission de la construction du Québec ont mené à des réclamations visant environ 24 000 heures de travaux non déclarées et plus de 670 000$ en contributions éludées.

 

Enquêter

L'UPAC mène des enquêtes criminelles et pénales en matière de corruption, de trafic d'influence, d'abus de confiance et de fraude fiscale. Cette année, 15 individus ont été accusés en vertu du code criminel alors que 35 individus et 17 entreprises ont été accusés d'infractions à des lois fiscales et à la loi sur le bâtiment. « Nos enquêtes mènent à des arrestations dont les actes criminels récurrents sont l'abus de confiance et les fraudes envers le gouvernement. Également, les stratagèmes de fausse facturation, les fausses déclarations comptables et le travail sans licence sont des infractions pénales qui entretiennent le cycle de la corruption et elles sont enquêtées », a déclaré le commissaire Robert Lafrenière.

 

Résultats en enquête 2016 :

  • 660 signalements de citoyens reçus.
  • Les enquêtes policières ont mené aux arrestations de 15 individus.
  • Des accusations pénales ont été autorisées contre 35 individus et 17 entreprises au terme d'enquêtes menées par les équipes de l'UPAC de Revenu Québec et de la Régie du bâtiment du Québec.
  • Travail sans licence : 64 chefs d'accusation et des amendes minimales réclamées de plus 2 M$.
  • 44 enquêtes sont en cours dont 30 de nature criminelle et 14 de nature pénale.
  • 27 dossiers d'enquêtes criminelles sont devant les tribunaux.
  • 15 M$ en récupération d'actifs

 

« Les enquêtes de corruption touchent à des stratagèmes clandestins organisés et elles demandent une expertise particulière afin d'être menées à terme. Devant la rare complexité de nos enquêtes, il importe que la démonstration de la preuve devant les tribunaux soit sans faille », a souligné Robert Lafrenière.

 

Veuillez trouver en annexe les résultats des actions de lutte contre la corruption de l'UPAC de 2011 à 2016.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d'enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d'intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

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Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Information médias :

Anne-Frédérick Laurence

Responsable des relations avec les médias

Unité permanente anticorruption

Tél. 514 228-3098, poste 12307

Cell. : 514 296-7593

anne-frederick.laurence@upac.gouv.qc.ca

Journée internationale de la lutte contre la corruption

Nouvelle

L’UPAC rappelle l’importance de lutter contre la corruption et la collusion afin de maintenir l’intégrité de nos institutions et des marchés publics.

Projet HONORER : Gilles Vaillancourt plaide coupable

Communiqué

Gilles Vaillancourt a plaidé coupable de fraude, complot et abus confiance. Il s’est engagé à rembourser plus de 8, 5 millions $. La décision sur la peine sera rendue le 15 décembre 2016.

UPAC : aucun journaliste sous enquête

Communiqué

Montréal, le 3 novembre 2016 – Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, assure qu’aucun journaliste n’a fait l’objet d’une enquête ou d’une surveillance quelconque des analystes-enquêteurs ou des policiers de l’UPAC. La vérification à cet effet a été étendue depuis la création l’UPAC, en 2011,  jusqu’à ce jour.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Information médias :

Anne-Frédérick Laurence

Responsable des relations avec les médias

Unité permanente anticorruption

Tél. 514 228-3098, poste 12307

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Reportage « Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ » de Radio-Canada : le commissaire à la lutte contre la corruption fait une rectification

Communiqué

Montréal, le 3 novembre 2016 – À la suite des informations émanant du reportage « Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ » de Radio-Canada, le commissaire à la lutte contre la corruption tient à préciser que le dossier d’enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) dont il est question dans ledit reportage n’est pas complètement terminé et que par, conséquent, il n’a pas encore été soumis pour analyse au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP).

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Information médias :

Anne-Frédérick Laurence

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Unité permanente anticorruption

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Deux employés de la ville de Montréal accusés de fraude envers le gouvernement

Communiqué

 

Montréal, le 19 octobre 2016 – Au terme d’une enquête de l’Escouade de protection de l’intégrité municipale (EPIM) de l’UPAC, Yves Deraiche et Pierre-Yves Simard ont comparu au Palais de justice de Montréal pour être accusés de fraude envers le gouvernement et d’abus de confiance.

 

L’enquête tend à démontrer que les deux employés de la Ville auraient récolté des « pourboires » en argent comptant auprès des entrepreneurs qui avaient besoin de leurs services afin de raccorder des tuyaux d’aqueduc. Les faits reprochés seraient survenus dans les arrondissements Ahuntsic-Cartierville et Ville-Marie.

 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

 

Source :

Commissaire à la lutte contre la corruption

 

Information médias :

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Responsable des relations avec les médias

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Projet MONDAIN : Plaidoyer de culpabilité

Communiqué

Accusé de fraude et de commissions secrètes en 2014, Éric Carbonneau a plaidé coupable ce matin au Palais de justice de Montréal.

Abus de confiance et usage de faux documents : l’ex-directrice générale de la municipalité de Saint-Louis-de-Gonzague comparait au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce

Communiqué

À l’issue d’une enquête criminelle menée par le Commissaire à la lutte contre la corruption, Odette Poulin a formellement été accusée d’usage d’un document contrefait et d’abus de confiance. Quant à ses présumés complices, Jean-François Paré et Michel Rodrigue, ils ont également été accusés d’avoir utilisé un document contrefait, et ce, afin de dissimuler un stratagème frauduleux impliquant un lucratif contrat public de mise à niveau et de rénovation de l’Hôtel de Ville. Les gestes reprochés auraient été commis alors que Mme Poulin occupait les fonctions de directrice générale de la municipalité, soit entre 2011 et 2015.

L’accusé Jean-François Paré a plaidé coupable de l’infraction reprochée devant le juge Jean Asselin, au Palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce. Quant aux deux autres accusés, le processus judiciaire suit son cours. 

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Projet FICHE : France Michaud reçoit sa sentence

Communiqué

France Michaud, une ex-dirigeante du groupe Roche, a été condamnée à  18 mois d’emprisonnement et trois années de probation pour avoir participé à un stratagème de collusion et de corruption en lien avec l’octroi de contrats publics à Boisbriand. Rappelons que France Michaud avait été reconnue coupable de fraudes envers le gouvernement, complot, abus de confiance et corruption dans les affaires municipales dans le projet d’enquête FICHE.

Une employée du Collège Édouard-Montpetit accusée d'abus de confiance, fraude et complot

Communiqué

À l’issue d’une enquête criminelle menée par la Direction des enquêtes sur la corruption de l’UPAC, Mme Stéphanie Paquette a formellement été accusée ce matin au palais de justice de Longueuil pour des infractions d’abus de confiance, de fraudes, d’emploi d’un document contrefait et de méfaits alors qu’elle occupait les fonctions de directrice des services financiers au Collège Édouard-Montpetit.

Dans ce même projet d’enquête, Dino Marcoux est conjointement accusé de recel et de complot dans un présumé stratagème frauduleux impliquant diverses tractations bancaires permettant ainsi à l’employée du collège et son complice de détourner des fonds publics dans un dessein  personnel. Les infractions reprochées se seraient produites entre novembre 2012 et octobre 2014.

Le Commissaire à la lutte contre la corruption coordonne et dirige des unités d’enquêtes, de vérification et de prévention afin de lutter contre la corruption. Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

Travail sans licence: des compagnies exécutant des travaux publics sont accusées de 55 infractions à la Loi sur le bâtiment

Communiqué

Montréal, le 24 mai 2016 – Une enquête de l’équipe de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) a mené au dépôt de 55 chefs d’accusation à l’endroit de la compagnie 2528-4753 Québec inc., faisant des affaires sous la raison sociale Décoration Pinceau, et de cinq de ses sous-traitants, 9298-16 Québec inc., Sylvie Croteau (SC Pro Ménage), Daniel Lavoie, Richard Marcotte (Services résidentiels Alex enr.) et Noémie Cosnard-Gaudreau (N.C.G. Peinture).

C’est grâce à la vérification diligente de la Commission de la construction du Québec de l’UPAC que les enquêteurs de la RBQ ont pu déceler que Décoration Pinceau aurait recouru aux services de plusieurs sous-traitants non licenciés pour l’exécution de travaux de peinture prévus aux contrats publics octroyés par l’Office municipal d’habitation de Montréal, entre janvier 2013 et octobre 2014.

Les accusations pour travail sans licence et pour utilisation de sous-traitants non licenciés ont été déposées à la suite d’une perquisition réalisée par la RBQ en juillet 2015. Tel que prévu à la Loi sur le bâtiment, si les accusés sont reconnus coupables, ils feront face à des amendes minimales de 1 935 276 $.

Nom ou raison sociale

Nombre d’infraction(s)

2528-4753 Québec inc. (Décoration Pinceau)

31

9298-1679 Québec inc.

3

Noémie Cosnard-Gaudreau (N.C.G. Peinture)

1

Sylvie Croteau (SC Pro Ménage)

7

Daniel Lavoie

10

Richard Marcotte (Services résidentiels Alex enr)

3

Au Québec, il est obligatoire que les entrepreneurs en construction soient licenciés par la RBQ, de même que les sous-traitants qu’ils embauchent pour l’exécution de travaux de construction.

Les citoyens peuvent appeler le 1 844 541-UPAC ou visiter le www.upac.gouv.qc.ca pour transmettre toute information relative à des actes répréhensibles ou gestes d’intimidation en matière de corruption ou de collusion.

 

Source
Commissaire à la lutte contre la corruption


Information médias
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Robert Poirier condamné à 18 mois de prison

Communiqué

L’accusé Robert Poirier qui a été déclaré coupable de fraude, de complot pour fraude et d’abus de confiance relativement aux fonctions qu’il a occupées alors qu’il était maire de Boisbriand (projet Fiche), a été condamné par le Tribunal à une peine globale de 18 mois d’emprisonnement, suivie de trois ans de probation.

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