La Division de la prévention vous aide à reconnaître cette ennemie qu’est la corruption afin que vous puissiez agir pour la contrer et la dénoncer.
Elle propose des séances de sensibilisation aux ministères et organismes gouvernementaux, aux municipalités ainsi qu’aux entreprises qui font affaire avec l’État afin de :
Les séances peuvent prendre diverses formes :
Pour toute question ou pour demander la tenue d’une séance de sensibilisation, merci de remplir notre formulaire Nous joindre en sélectionnant l'option « Organiser une séance de sensibilisation à la corruption ».
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Les risques de corruption et de collusion sont bien présents à toutes les étapes du processus contractuel. C’est pour cette raison que le Secrétariat du conseil du trésor (SCT) a émis la Directive concernant la gestion des risques en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle (« Directive », 2016) qui oblige les organismes publics soumis à l’article 4 de la Loi sur les contrats des organismes publics (LCOP) à mettre en place un plan de gestion des risques.
L'UPAC offre de l’accompagnement aux organismes publics assujettis à la Directive, mais aussi aux villes et municipalités du Québec qui le désirent et à qui la gestion des risques de corruption/collusion peut être grandement profitable. Afin d'aider leurs dirigeants à évaluer les risques liés à la corruption et à la collusion, nous vous offrons :
Cette démarche est inspirée des exigences de la norme ISO-37001 – Systèmes de management anticorruption.
Écrivez-nous afin d’obtenir des informations sur nos services à l'aide de notre formulaire Nous joindre en sélectionnant l'option « Bénéficier de conseils en matière de gestion des risques de corruption et de collusion et gestion contractuelle ou obtenir notre trousse d'outils en gestion des risques ».
Elle s’adresse à toute organisation qui désire prévenir les risques de corruption et de collusion au sein de sa gestion contractuelle.
Cette démarche vise tout d’abord à sensibiliser les organisations publiques aux risques possibles en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle.
Ensuite, elle vise à les accompagner dans :
La formation ainsi que l’accès aux outils développés par l’UPAC sont offerts sans frais à l’ensemble des organisations publiques Québec y compris les villes et municipalités.
Depuis sa création, l’UPAC a développé une expertise unique en matière de lutte contre la corruption. En agissant sur trois fronts distincts afin de prévenir, vérifier et enquêter, elle est au fait de l’apparition et de l’évolution des différents stratagèmes de corruption et de collusion.
Pour nous appuyer dans notre démarche de prévention, nous avons ainsi bâti une banque de connaissances, basée sur un travail poussé de recherche et d’analyse, des meilleures pratiques de bonne gouvernance en matière en gestion des risques liés à la corruption et à la collusion. À l’aide de ces bases, nous avons ensuite développé une démarche afin d’accompagner toutes les administrations publiques dans ce processus essentiel.
Au fil des ans, nos liens étroits avec le Secrétariat du conseil du trésor et les nombreuses séances de travail et de discussion avec les différents ministères et organismes nous ont permis de bonifier cette démarche.
Il est obligatoire pour les organismes assujettis à l’article 4 de la Loi sur les contrats avec les organismes publics (LCOP) de produire un plan de gestion des risques de corruption/collusion ainsi qu’un rapport de revue et de surveillance de ce plan.
Toutefois, il n’est pas obligatoire d’utiliser les services, les outils ou la démarche de l’UPAC. Notre trousse a été créée dans l’objectif de soutenir les différents organismes dans l’application de la Directive concernant la gestion des risques en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle (Directive) et de leur donner les conseils qui relèvent de notre expertise.
Les villes et municipalités ne sont pas assujetties à l’article 4 de la LCOP, donc à la Directive. Toutefois, produire un plan de gestion des risques de corruption et de collusion est fortement suggéré puisqu’il est dans l’intérêt des administrations publiques, et ce, dans une perspective de saine gestion de l’intégrité publique.
Non. Pour avoir une certification, il faut communiquer avec le Bureau de normalisation du Québec (BNQ).
Ces outils ont notamment pour référence le cadre juridique gouvernemental, la Directive concernant la gestion des risques en matière de corruption et de collusion dans les processus de gestion contractuelle (2016), la norme ISO 31000 Management du risque, la norme ISO 37001 Systèmes de management anti-corruption, la norme COSO Enterprise Risk Management ainsi que les normes internationales pour la pratique professionnelle de l’audit interne (IIA).
Nous avons développé un outil interactif permettant de tester les capacités de votre organisation à mitiger les risques de corruption. Cliquez ici pour y accéder!